Coaching

Les pré-ados, au sortir de l'enfance ...

Elle se regarde à longueur de journée dans la glace ?

Vous tanne pour avoir le même tee-shirt que sa copine ?

Change parfois jusqu’à 3 fois de tenues par jour ? Vous laissant les autres trainer sur le carrelage de la salle de bain !

Et cela vous inquiète de la voir changer ainsi si vite … Quittant le monde de l’enfance bien plus tôt que vous ne le souhaiteriez ?

 Entre 8 et 12 ans, votre enfant entre dans la période de la préadolescence et c’est maintenant qu’il va développer son identité et à se soucier de l’image qu’il renvoie aux autres.

Et quand on est parent, on peut avoir quelques inquiétudes car l’image du corps véhiculée par les médias dont s’inspire fortement nos enfants n’est pas forcément une image saine.

On y voit rarement des jeunes filles affichant encore des rondeurs de l'enfance, pleines de vies et joyeuses.

On y croise plus souvent des corps affligeants de maigreur et des visages blafards.

En 1998, un sondage réalisé par Santé Canada montrait qu’à l’âge de 10 ans, plus de 75% des filles déclaraient ne pas aimer leurs corps.

Un site Canadien Réseau Education Média propose des pistes de réflexion pour les parents soucieux de l’impact des médias sur leurs enfants.

Je suis tombée sur un dossier particulièrement intéressant qui traite des effets du Marketing sur nos enfants : Gérer les effets du marketing : ce que les parents peuvent faire

J'ai bien aimé les questions qu'ils suggèrent de poser à nos enfants :

• T'arrive-t-il de te sentir mal parce que tu ne possèdes pas quelque chose ?
  
  
• As-tu déjà pensé que les gens pourraient t'aimer davantage si tu possédais un certain objet ?
  
  

C'est en tous cas un sujet qui me semble important à aborder très tôt avec eux.

 

L'ouvrage du temps ...

En tant que maman, que belle-sœur ou encore que coach je suis amenée de plus en plus à observer des familles éclatées par un divorce.

Familles au parcours mouvementé mais familles "ordinaires" malgré tout tant ces parcours de vie sont devenus fréquents.

Les enfants qui sont au cœur de tous ces bouleversements doivent apprendre à accepter cette réalité là et c'est souvent long et douloureux. Beaucoup plus, il me semble que nous acceptons nous adultes de le considérer tant nous souhaiterions rapidement apaiser cette souffrance chez nos enfants.

Et puis cela nous place face à une culpabilité qui parfois est trop lourde à porter.

Et pourtant, personne ne peut véritablement faire l'économie de cette souffrance là ...

On traverse des crises. Les rapports parents-enfants deviennent douloureux. Parfois même la communication est rompue tant elle déchire.

Chacun reste sur ses positions. On se tait. On se mure. On accuse l'autre d'être égoïste ou ingrat et de ne rien vouloir comprendre.

Avec ce sentiment terrible que quelque chose est cassé, brisé et que c'est malheureusement irrémédiable.

Et pourtant si on sait se montrer patient, souvent vient le temps de l'apaisement.

Parfois, longtemps après ... Chacun a intégré et digéré pour le parent sa part de responsabilité et pour l'enfant le côté irréversible de la situation. Chacun a fait son deuil d'une certaine image familiale.

Seul le temps permet de faire ce long travail, c'est du moins ce que j'observe ...

Rendre leur place aux pères ...

Je me faisais la remarque un peu avant l'été. A chaque fois c'est le même scénario qui se répète.

L'heure du rendez-vous approche. On sonne. J'ouvre et je me retrouve face à une maman qui accompagne son fils ou sa fille pour sa séance de coaching.

Parfois au cours du rendez-vous il m'est même arrivé de me demander si le Papa existait tellement il était absent du discours. Quand je pose la question de savoir quelle est son implication dans le suivi scolaire ou simplement dans la vie de l'enfant, on me regarde comme je posais une question quelque peu embarrassante.

Ou alors, on m'explique comme à une demeurée qu'il est tellement occupé que "C'est maman qui s'occupe de tout" ...

J'avais fini par intégrer cette triste réalité là quand récemment en ouvrant la porte je trouve face à moi .......... un Papa ! Ma joie a été de courte durée quand la Maman m'a expliqué au téléphone peu de temps après qu'elle avait tellement insisté auprès de son époux qu'il avait fini par accepter d'accompagner son fils à sa séance de coaching. Elle espérait ainsi l'impliquer davantage.

J'ai beaucoup réfléchi ces derniers mois à cette situation si courante et je me suis moi-même remise en question en tant que mère de famille.

Car il faut bien le reconnaitre beaucoup d'entre nous doivent se faire un peu violence pour laisser leur juste place aux pères.

Pour bon nombre de mères cela n'a rien de facile !

Les femmes actives qui mènent en parallèle une carrière professionnelle et une vie de famille ont depuis longtemps acquis une parfaite maîtrise de l'organisation. Elles jonglent en permanence. Elles résolvent mille petits problèmes au quotidien. Parvenant même à glisser sur l'heure du déjeuner quand elles sont au bureau un peu de natation ou de stretching ... Histoire de garder la forme !

C'est une réalité. Les femmes sont souvent très organisées et reprochent en général à leur conjoint de ne pas savoir gérer les choses avec autant de facilité. Pour ne pas dire plus ...

Cependant, je suis intimement convaincue que cette situation est tout à fait néfaste aux enfants. Car les enfants finissent par avoir une image du père comme "l'éternel absent" trop occupé par son boulot ou ses activités extérieures qu'il ne faut surtout pas le solliciter ou le déranger.

Accepter que le père joue son rôle de père, c'est avant tout accepter sa différence et à mon avis c'est là que les choses commencent à se compliquer pour les mères que nous sommes.

Certes il va oublier de mettre le goûter dans le cartable de son fils et ne connaît probablement pas comme vous le nom de son intitutrice. Mais son approche est différente. Il sent et perçoit des choses que vous n'êtes pas en mesure de ressentir en tant que  mère.

Et ne croyons pas naïvement que partager une partie de foot le dimanche après-midi suffira !

C'est souvent nous les mères qui detenons la solution :

Savoir reconnaître leur Valeur de Père

Et le dire à nos enfants.

Le dire et le redire au quotidien au lieu de pointer du doigt ce qu'ils ne font pas ou ce qu'ils font mal ... Selon nous !

Non, je ne suis pas parfait !

C'est un soir de semaine. Rentrée oblige, plusieurs centaines de parents se sont déplacés dans ce lycée gigantesque pour faire connaissance avec l'équipe pédagogique.

C'est l'habituel défilé des professeurs. Chacun venu présenter son programme, ses exigences et ses objectifs. Les parents écoutent et parfois interviennent. Rien de bien exceptionnel.

C'est la première à se présenter et elle a visiblement du tempérament ! Nous explique qu'elle aura en charge 250 élèves, soit 7 classes cette année ... Et très rapidement, on est convaincu qu'elle sait où elle va et comment elle compte y parvenir. Très rassurant ... Pour nous parents mais certainement plus encore pour nos enfants.

La seconde est nerveuse. Elle ne cesse de s'embrouiller dans des explications interminables. Au bout de 2 minutes, je suis persuadée que plus personne n'est en mesure après sa journée de travail de comprendre là où elle veut en venir ... 

Nous écouterons ainsi 8 ou 9 enseignants et ressortirons du lycée 2 heures plus tard.

Aujourd'hui je reçois Léonard 13 ans pour sa séance de coaching. Je le connais bien et j'ai plaisir à le retrouver pour aborder avec lui cette nouvelle année.

Lui aussi il semble savoir où il va sauf que cette année il a un problème ....

Alors que nous passons en revue ses nouveaux professeurs soudain il m'annonce qu'en SVT ça va être dur !

"Ah bon ? Et pourquoi ? Tu n'es pas mauvais en SVT pourtant ?"

Il m'explique alors à quel point le premier contact avec son nouveau prof s'est avéré catastrophique. En un ou deux cours, il a perdu - de toute évidence - toute envie de s'intéresser à cette matière !

Nous allons travailler essentiellement autour de ce problème ensemble. Comment rester motivé(e) quelle que soit la qualité de l'intervenant.

Ce n'est pas la première fois que je suis confrontée à cette problématique. Elle revient régulièrement dans le discours des jeunes que j'accompagne.

Et c'est un sacré challenge que de leur faire comprendre qu'il va falloir composer avec cette réalité là !

Mais c'est probablement aussi un excellent moyen de les confronter à la vie telle qu'elle est. Si éloignée de l'image idéale qu'ils en ont.

Juste admettre l'imperfection

Et si nous les respections pour ce qu'ils sont ?

4 heures du  matin. Le portail du jardin qui claque. Je suis réveillée en sursaut. Je sais qui c'est. Il rentre régulièrement à cette heure-ci depuis cet été !

Nous en avons parlé tranquillement à l'heure où il émerge : lorsque nous passons à table. Lui devant son café, nous devant notre tomate mozzarella.

Il sait qu'il est totalement décalé. Il sait qu'il va falloir qu'il se réadapte à un rythme plus classique. Il sait que nous le regardons tous ici du coin de l'oeil. Il sait tout ça ...

Mais il est vivant, et vibrant. Mû par sa passion. Celle qui donne un sens à sa vie. Celle qui lui donne envie jour après jour d'exister et d'avancer.

Et par cette belle journée d'été, je l'observe tranquillement car pour une fois j'ai tout mon temps et .... je me dis que je suis fière de lui.

Oui ! Une chose a changé. Imperceptiblement au cours de l'été. J'ai laissé de côté mon regard critique et surtout mes a priori pour l'entendre. Enfin, je devrais rajouter avec bienveillance.

Et pourtant .... Vivre avec un ado ou un adulescent demande une sacrée dose de patience et de tolérance !

Certes l'été est une période propice. Le stress qui reviendra avec la rentrée risque - j'en ai bien peur - d'emporter bien loin cet état de grace.

N'était-elle pas un peu magique cette ouverture vers plus de tolérance et de respect ? Pourrait-elle perdurer lorsque le rythme effréné de mes journées rendront à nouveau insupportable son attitude ? 

Mais de l'avoir "gouté" m'a permis d'accéder à une sensation nouvelle.

Elle m'ouvre à plus de respect envers les autres. Envers leurs différences. Envers leurs choix de vie. Envers leurs rythmes différents.

Envers ce qu'ils sont tout simplement.

Cultivons les moments lumineux ...

J'avais commencé la rédaction de cet article un peu avant l'été et il était resté inachevé un peu à l'abandon.

Je le redécouvre à un moment de ma vie où il prend soudain tout son sens. Ce sont les tristes hasards de la vie.

Thomas d'Ansembourg au travers de ses livres a été un des premiers à me guider et j'avais trouvé superbe cette idée de cultiver les moments lumineux de nos vies. De les garder bien au chaud pour les retrouver avec bonheur quand la tristesse où le découragement nous envahissent.

Telles des ressources que nous pourrons partager librement et joyeusement avec les autres.

C'est prendre le temps quand la vie nous sourit de noter précieusement dans un petit coin de notre coeur tous les petits détails, toutes les nuances et toutes les tonalités.

Cet article est tout spécialement pour toi Ma Belle partie trop tôt par cette superbe journée d'été. Le soleil était venu te rendre un dernier hommage. Si tu savais comme tes éclats de rire vont nous manquer ...

Pour une enfance heureuse

 Il s'appelle Carl Honoré et après un premier livre intitulé "Eloge de la Lenteur" qui avait fait grand bruit lors de sa sortie et dont j'ai déjà eu l'occasion de parler ici, il a sorti en 2008 un livre très intéressant car il va à l'encontre de ce que nous observons actuellement dans nos sociétés occidentales :

"Manifeste pour une enfance heureuse"

Ecoutons le nous en parler : Vidéo de Carl Honoré

Son regard porté sur l'enfance et surtout sur la façon dont nous parents nous élevons nos enfants me paraît très juste et empreint de beaucoup de bon sens.

J'ai souvent entendu ma fille se plaindre qu'elle s'ennuyait. Qu'elle n'avait personne pour  jouer avec elle. Qu'elle ne savait pas quoi faire.

Loin de moi l'idée d'accourir pour essayer de lui trouver des activités car je sais qu'en la laissant seule gérer ce petit problème, elle va commencer à imaginer, à créer, à s'inventer des mondes peuplés de poupées, de découpages extraordinaires, de couleurs. Et que l'ennui lui aura permis d'aller chercher au fond d'elle des ressources qui lui seront bien précieuses dans sa vie d'adulte.

Aller à contrecourant parfois et mettre entre parenthèse pendant une année ou quelques mois toute cette agitation autour des activités extra-scolaires me semblent également profitable. Laissons les enfants vivre à leur rythme parfois surtout lorsqu'ils attaquent des apprentissages déterminants comme la lecture ou lors de l'entrée au collège.

Savoir s'alléger au lieu de remplir leurs plannings à l'infini.

Mais cela pose plus globablement la question plus centrale de savoir pourquoi nous adultes nous remplissons autant nos vies ? Pourquoi le vide nous angoisse-t-il à ce point ? Pourquoi le silence et l'inactivité sont souvent insupportables ?

Lorsque nos vies nous appartiennent enfin ...

C'est le début de l'été et je me retrouve conviée à un dîner avec un groupe d'amis. Avant de passer à table, notre hôtesse nous propose d'aller visiter son nouvel appartement qu'elle est en train d'aménager.

Il me revient alors en mémoire que quelques mois auparavant, au cours d'un autre dîner rassemblant les mêmes convives, cette même personne m'avait confié que son souhait le plus cher était de s'installer dans le Sud avec son nouveau compagnon.

Je ne peux m'empêcher de lui en reparler pensant qu'elle a quelque peu renoncé à ce projet.

Sa réponse est tout à fait inattendue. Elle m'explique qu'elle a dans l'intention d'occuper ce nouvel appartement durant une année tout au plus car ensuite elle partira bel et bien dans le Sud.

Je lui demande si ce projet a pris forme ? Si des perspectives d'emploi semblent possibles pour elle ou son ami ? Si les choses sont déjà engagées dans ce sens ?

Elle me répond avec une sourire qui a cet instant précis illumine tout son visage ... par la négative !

Il s'en suit un moment de silence ... Je cherche à comprendre avec mon esprit très cartésien comment elle peut être aussi sûre d'elle consciente de la difficulté que comporte un tel projet quand soudain je prends conscience comme d'une évidence qu'elle est dans la juste attitude à adopter si elle veut que son projet aboutisse.

Lorsque nos pensées convergent vers un seul point, nous donnons à cette perspective toutes les chances de se réaliser.

Il me revient alors en mémoire ce livre  : Le secret qui depuis sa sortie reste en tête des meilleurs ventes à la Fnac.

Etrange théorie que cette loi de l'attraction qui exaucerait chacun de nos souhaits. J'avoue avoir été songeuse dans un premier temps. S'il suffisait d'y croire très fort pour que ça fonctionne ! Un peu naïf comme raisonnement !

Et puis j'ai acquis au fil du temps la conviction que cette façon de se comporter dans la vie peut changer les choses diamétralement.

"Créez votre journée à l'avance en pensant à la façon dont vous souhaitez qu'elle se déroule et vous façonnerez ainsi votre vie intentionnellement"

Si vous avez un peu de mal à adhérez à cette théorie, essayez juste de vous livrer à ce petit exercice très simple à mettre en pratique.

Juste tendre vers une ou deux choses bien concrête, s'y projeter, s'imaginant même la vivant avec tous nos sens et observez les résultats !

Cette perspective est tout à fait revigorante en tous cas

L'ennui ...

J'ai pris récemment le mesure d'un phénomène qu'on sous-estime à mon sens et qui touche bon nombre de nos adolescents pendant les quelques années passées au Collège : l'ennui

Très souvent en Primaire les enfants très curieux, très avides de découvrir le monde sont "nourris" par le matériel que leur propose leur enseignant. Pour avoir assisté à quelques sorties, j'ai vu à quel point une classe de CE1 peut être vivante, source d'échanges entre l'instituteur et l'enfant. Les questions fusent. Le problème est plus de canaliser toute cette énergie car tout est à découvrir et tout est passionnant à cet âge.

En arrivant au collège, la situation s'inverse malheureusement et il me semble tellement regrettable que cet appétit d'apprendre soit à ce point ignoré. Qui n'a pas eu cette impression que ces jeunes étaient gavés comme des oies d'un savoir qu'ils devaient ingurgiter pour être en mesure de le restituer sans qu'à aucun moment la notion de plaisir ne transparaisse ?

J'observais récement un jeune garçon qui se préparait à passer son Brevet et j''ai réalisé à quel point il était stimulé par l'enjeu que représentait cette épreuve. Enfin il se passait quelque chose d'excitant dans sa vie !

J'ai compris à quel point ces jeunes ont besoin de challenges, d'objectifs à atteindre et d'être stimulé.

Surtout à un âge où ils baignent dans un univers peuplé de jeux vidéos où tout les incite à être ultra rapide, hyper réactif et surtout à gagner ! A être le plus fort, à passer au niveau supérieur, à relever des défis.

Quel décalage entre cette forme d'activité cérébrale et l'écoute studieuse et attentive qu'on espère obtenir d'eux dès lors qu'ils ont franchi les murs du collège ...

Cela pose un vrai problème et je suis toujours étonnée de voir combien les jeunes que j'accompagne en coaching tout au long de l'année sont friants de ces objectifs que nous fixons ensemble et avec quelle facilité ils se prêtent au jeu alors même que leurs parents ou professeurs parviennnt avec tant de difficulté à les motiver.

Savoir lâcher prise ...

J'observe fréquemment autour de moi des personnes qui luttent avec une énergie démesurée pour obtenir telle ou telle chose que ce soit dans leur vie professionnelle ou dans leur vie privée.

Et se désolent de voir la situation totalement bloquée ... Sans vraiment comprendre pourquoi ?

Si parfois ce sont les méthodes employées qui ne sont les bonnes, il arrive aussi fréquemment d'avoir le sentiment que la vie nous a mis "hors jeu" et que rien dans notre comportement ne peut expliquer que rien n'aboutisse.

A l'inverse, on observe aussi dans nos vies des périodes très excitantes où tout semble possible et surtout réalisable avec une facilité déconcertante.

Il me semble que la seule attitude raisonnable lorsque l'on ne parvient à faire évoluer une situation serait alors de simplement "lâcher prise".

Je ne parle pas de renoncer mais simplement de se mettre un temps en retrait.

Dans cette attitude plus passive, on parviendra certainement à percevoir alors des signes qui nous échappaient auparavant.

Laisser plus de place à votre intuition, à vos sensations et à l'observation. L'action pourra prendre le relais quand le temps sera revenu d'agir à nouveau ...

Un livre à la fois drôle et utile pourra vous aider dans cette démarche : Petit Cahier d'exercices du Lâcher Prise

Un format et un concept amusant mais également un contenu qui peut s'avérer fort intéressant.

A glisser dans votre sac de plage !